C’est le mardi 8 mai dernier qu’était présentée la 27eédition du Triathlon de la Commission scolaire de la Rivière-du-Nord à l’école secondaire Cap-Jeunesse de Saint-Jérôme.
Au total c&#8217;est 203 étudiants qui ont participé à l’événement. Ils provenaient des écoles Cap-Jeunesse, Frenette, Mirabel, Saint-Stanislas, des Studios et de la Polyvalente Lavigne.
Cap-Jeunesse a dominé avec quatre titres sur six.
Nous vous présentons ici les équipes championnes des différentes catégories.
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Tel qu’Infos Laurentidesl’avait pressenti dans son édition du 2 mai dernier, Stéphane Piché est devenu mercredi soir dernier, au moment de l’assemblée générale annuelle de l’organisme, président du conseil d’administration de la Fédération des clubs de hockey mineur de Saint-Jérôme.
Pour le nouveau président, ce mandat qui débute s’inscrit, dit-il, dans l’optimisation de ce qui a été mis en place au cours des dernières années.
«On a d’abord regardé la structure. La première année, on a établi un diagnostic, de façon à travailler sur la deuxième et la troisième année. On a un conseil d’administration très solide (il occupait jusque-là les fonctions de vice-président développement)» nous confiait-il, peu de temps après la fin de l’assemblée.
Un permanent
L’avenir de la Fédération passe également en partie par l’intégration d’un gestionnaire.
«Nous avons mis une structure en place avec l’engagement d’un permanent. N’importe qui qui va arriver au conseil d’administration dans trois ans, dans cinq ans, il va y avoir une structure en place, des outils que les gens vont pouvoir utiliser, tout va être là … Le but, il y a deux ans, était d’assurer la pérennité de la fédération. Nous allons maintenant s’assurer que tout est optimisé &#8230; La priorité no 2 est de veiller à la situation budgétaire de la fédération» note Stéphane Piché.
Programme de reconnaissance
Quant à savoir à quel point le jeune hockeyeur est au centre des préoccupations, il parait difficile d’en douter.
«Nous avons mis en place des formations pour les instructeurs et, côté intervention, il existe un programme par lequel un instructeur qui rencontre un problème de comportement avec un jeune peut avoir le support de quelqu’un».
«Nous avons également une formation quant au rôle d’un instructeur derrière un banc. Comment on dirige une équipe de hockey. C’est le monde du hockey. On ne peut pas contrôler comment les parents réagissent. Par contre, la façon de faire n’est pas axé uniquement sur la performance du jeune, mais aussi son épanouissement, le respect et l’estime de soi».
Tellement qu’il existe au sein de la fédération un programme de reconnaissance.
« Nous avons reconnu 16 jeunes cette année, l’an dernier c’était 18. Ces jeunes ont fait des interventions dans la société. Ils se sont améliorés à l’école. Ils ont été nominés et ont été élus … Si tous les ans, on en a 25-30-40 et si on monte jusqu’à 50, c’est bien tant mieux. Si ces jeunes-là sont impliqués dans la communauté, c’est ça qu’on veut. Le hockey, c’est un prétexte pour développer les jeunes. C’est ça notre but… » de conclure Stéphane Piché.
Conseil d’administration
Au sein du conseil d’administration, Stéphane Piché sera secondé d’Élaine Cholette, vice-présidente administration, Yan Houari, vice-président hockey, Stéphane Corbeil, vice-président intercités (nouveau poste) et Martin Labrosse (trésorier).
Les postes de vice-président développement (occupé jusque-là par Stéphane Piché) et secrétaire (qu’occupait Annie Beauchamp) sont à combler.
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Nouveau président du hockey mineur à Saint-Jérôme: «Le hockey, c’est un prétexte pour développer les jeunes» -Stéphane Piché

Qui sait qu’on exporte depuis presque six ans, à partir de la rue Parent à Saint-Jérôme, du thé biologique à travers le Québec, le Canada et, depuis peu, aux États-Unis?
C’est exactement ce que fait la Jérômienne Yolaine Lafrance depuis 2012.
Répondre à son besoin
Diplôméeen marketing et communications, mais surtout, dit-elle, «folle de cuisine», Yolaine Lafrance a avant tout fondé Zyo pour répondre à un besoin inassouvi qu’elle éprouvait de boire du thé biologique de qualité.
Elle s’est dit, que si elle ressentait ce besoin, elle n’était probablement pas la seule.
Et elle a eu raison…
« J’étais une consommatrice de thé et je n’en trouvais pas de biologique au Québec. Quand on pense qu’on fait infuser son thé ou sa tisane dans l’eau, c’est important d’avoir un produit de qualité. J’ai donc fait beaucoup de recherches sur l’Internet et j’ai fini par en trouver sur le marché asiatique» raconte l’entrepreneure. 
Dès lors, Zyo était créé. On est à la fin de 2012 et Yolaine Lafrance fait figure de précurseur.
«J’ai été la première au Québec à offrir du thé biologique. Et j’ai reçu rapidement la certification».
«Un choix sanguin…»
En plus de la cinquantaine de thés différents, Zyo offre également, on s’en doute bien, des tisanes, infusions, des épices et certaines herbes médicinales.
Si elle importe ses thés de certaines parties du monde (surtout en Asie), elle prépare elle-même les différents mélanges avec notamment des fruits séchés provenant d’une compagnie québécoise («c’est très important pour moi de faire affaire avec une compagnie du Québec »).
Et comment choisit-elle ses thés?
« C’est instinctif…» note Yolaine. «C’est un choix sanguin, cérébral. On aime ou on aime pas».
Ses fournisseurs lui offrent des échantillons qu’elle goûte avant de commander. Parfois, parce que les thés proviennent d’Asie, elle fera la moitié du chemin pour les rencontrer.
Quant aux favoris, quel amateur de thé sera surpris d’apprendre qu’actuellement, les thés verts et les thés chai ont la cote?
Ce qui n’empêche pas Yolaine Lafrance d’introduire sur le marché de nouveaux produits, comme elle l’a fait l’année dernière avec un thé blanc au pamplemousse
et une tisane Brise des Caraïbes.
Elle conseille également d’essayer le chai au curcuma qui surprend par sa douceur.
«Depuis quelque temps, il y a un gros engouement pour la matcha. Ce qui n’est pas surprenant, puisque qu’on a toutes les propriétés et bienfaits du thé vert, du fait qu’on a la feuille complète broyée».
Au marché public
Vous ne trouverez pas les produits de Zyo au supermarché ou en boutique (si ce n’est au Fleuriste Marguerite et à la brasserie Dieu du ciel de Saint-Jérôme en dégustation).
Tout passe, en grosse majorité, par les commandes en ligne (avec un taux de 75 % des clients qui reviennent) et une livraison garantie par Postes Canada..
Ce qui n’empêche pas que Yolaine Lafrance est présente depuis trois ans au Marché d’été de Val-David et elle met tout en œuvre pour être aussi représentée (si ce n’est elle-même qui sera sur place) au populaire marché public de Saint-Jérôme au cours de la saison estivale qui vient.
Des approches sont également en cours avec des supermarchés de la région.
www.zyotea.com 
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Triathlon de la CSRDN: Cap-Jeunesse domine…