La saison morte dans le hockey junior québécois représente l’occasion de grands changements au niveau du personnel-hockey d’une équipe.
Les Panthères de Saint-Jérôme ne font pas exception à la règle.
Au cours des derniers temps, de nouveaux visages sont venus rejoindre l’instructeur-chef Pierre Bergeron qui agit également à titre de directeur général.
Les acquisitions
Voici, tel que décrit sur la page Facebook de l’organisation, les nouveaux venus.
Assistant-directeur général hockey: Lawrence Benjamin.
Lawrence Benjamin est dans le hockey depuis maintenant 10 ans en grande partie avec les Huskies de Rouyn-Noranda et les Redmen de l’Université McGill, lui qui avait d’abord commencé son parcours dans le hockey avec les Riverains du Collège Charles-Lemoyne au niveau midget AAA.
Depuis deux ans, il occupe le poste d’assistant-recruteur en chef avec Rouyn-Noranda.
Lawrence sera responsable d’assister le DG hockey dans toutes ses décisions hockey ainsi que d’aider l’équipe pour le repêchage et le développement des joueurs.
Assistant-entraîneur: Maxime Gohier.
Maxime Gohier était depuis plusieurs saisons avec les Vikings de Saint-Eustache au niveau Midget AAA.
Entraîneur réputé et impliqué au niveau de la structure intégrée depuis plusieurs saisons, Maxime s’occupera du développement des défenseurs avec les Panthères ainsi que du recrutement pour les joueurs de la région rapprochée de Saint-Jérôme.
Maxime vient remplacer l’assistant-entraîneur Raphael-Pier Richer maintenant en poste avec le Titan d’Acadie-Bathurst.
Entraîneur des gardiens de but: Bruno-Pierre Guillemette.
Avec le départ de François Proteau vers les Vikings de Saint-Eustache au Midget AAA, les Panthères ont engagé le partenaire de longue date de François, Bruno-Pierre Guillemette. Entraîneur de gardien depuis une bonne dizaine d’années. Il est depuis quelques années avec la structure des Conquérants Basses-Laurentides et des Cyclones de Mirabel au niveau juvénile, Bruno-Pierre sera en mesure de bien s’occuper du développement de nos gardiens, lui qui est notamment l’un des piliers de la réputée école de hockey pour gardien: [intensehockey.ca].
Dépisteur-chef: Didier Bochatay.
Avec sa vaste expérience comme joueur de hockey autant dans la LHJMQ qu’en ligue professionnelle suisse, Didier est un évaluateur de talent très minutieux.
Lui qui avait gagné une coupe Telus avec les Cantonniers de Magog au niveau Midget AAA, sera en mesure de trouver nos prochains joueurs vedettes avec les Panthères.
Didier occupe par ailleurs un poste de recruteur avec les Huskies de Rouyn-Noranda de la LHJMQ.
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Si tout se déroule comme prévu, la Ville de Saint-Jérôme aura, finalement, son complexe multisports.
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Comme l’avait anticipé Infos Laurentidesdans son édition du 18 juillet dernier, le ministre de l’Éducation, du Loisir et Sport, Sébastien Proulx, a octroyé une aide gouvernementale pour la concrétisation du projet.
Complexe de quelque 30 M$
Dans les faits, c’est 7,5 M$ que le gouvernement du Québec accorde pour ce projet de l’ordre de 30 millions de dollars.
Ledit complexe serait localisé dans le parc multisports de la Ville de Saint-Jérôme, aux abords de la rue Ouimet et à la hauteur des deux surfaces synthétiques de soccer-football.
Selon ce qui est prévu, ledit complexe comporterait un stade de soccer à 11 et un chalet de parc intégré (entre 18 et 20 M$, incluant le chalet).
Par la suite, les autorités ajouteraient une palestre de gymnastique (environ 10 M$) qui viendrait régler la situation du Club Les Zénith, actuellement logé dans un immeuble du boulevard Maisonneuve dans le parc industriel.
Plus tard, viendrait se greffer un skate park (1M$) pour lequel l’argent est actuellement disponible, mais les autorités entendraient, selon une source digne de foi, consulter les adeptes, pour ensuite définir le plan d’implantation avec le nouveau stade.
Plus de détails à venir.
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Québec octroie 7,5 M$: Saint-Jérôme aurait son complexe multisports

Les athlètes des Laurentides qui quitteront le 27 juillet prochain pour les Jeux du Québec à Thetford (comme ceux qui suivront, quelques jours plus tard, pour le deuxième bloc de compétition) auront un mandat clair à remplir: les responsables ne visent rien de moins que la sixième place (sur 19 régions) au classement général.
La 6e place
Cet objectif, c’est Dang Thanh Bui qui en sera à ses 22e Jeux du Québec à titre de chef de mission de la délégation des Laurentides, qui l’a fixé.
Tout bien pesé et considérant le potentiel des 189 jeunes qu’il dirigera vers les grands honneurs (individuels et collectifs), le sympathique bonhomme a établi que la délégation des Laurentides peut monter d’un échelon dans la hiérarchie des Jeux du Québec après avoir pris le septième rang lors de la dernière édition.
«Nous sommes impressionnés par votre talent. Nous avons confiance en vous», a-t-il dit, au moment de son passage au micro, samedi matin, lors de la rencontre pré-départ aux Jeux tenue à l’auditorium de la polyvalente de Saint-Jérôme.
Le calme olympien
Les propos du chef de mission trouvaient d’ailleurs écho dans ceux de Jean-Luc Brassard, invité comme conférencier à titre d’ambassadeur de l’esprit sportif, mais également champion olympique en ski acrobatique aux Jeux olympiques d&#8217;hiver de 1994 à Lillehammer (Norvège), en plus de quelques titres en Championnats du monde et en Coupe du monde.
«Si vous avez été sélectionnés, c’est parce que vous méritez votre place. Vous êtes prêts pour ce que vous allez affronter. Il vous suffira de gérer votre stress.»
Parlant de stress, Jean-Luc Brassard s’est gentiment moqué des commentateurs et analystes sportifs qui décrivent les épreuves des Jeux olympiques et disent que tel ou tel athlète fait preuve d’un calme olympien.
«Participer aux Jeux olympiques, c’est stressant. C’est hallucinant. Quelqu’un qui fait preuve d’un calme olympien, c’est quelqu’un qui est mort», a-t-il lancé devant un auditoire qui a croulé de rire. «Si on pense qu’un athlète fait preuve d’un calme olympien, c’est parce tu ‘’freak’’ tellement que tu ne sais pas quoi faire. Ce qui se passe dans la tête d’un athlète dans ces moments-là, c’est assez rock and roll».
C’est assurément pourquoi Jean-Luc Brassard a ajouté à l’intention des jeunes: «Encouragez-vous les uns les autres. Soyez la meilleure délégation aux Jeux du Québec. Aidez-vous…»
Car, dira-t-il, «le plus gros problème dans le monde sportif actuellement, c’est l’intimidation entre coéquipiers(par exemple, dénigrer un coéquipier qu’on ne trouve pas assez bon)».
Browne
<h1>Également présente à l’événement de samedi matin dernier, l’olympienne Cendrine Browne a non seulement témoigné de son expérience olympique de l’hiver dernier à PyeongChang, mais aussi de celle vécue aux Jeux du Québec en 2009, trouvant des similitudes entre les deux.</h1>
«Les Jeux olympiques, c’est magique, extraordinaire… C’est la même chose pour les Jeux du Québec. Pour moi, ma participation aux Jeux du Québec a été l’élément déclencheur qui a fait que j’ai décidé de continuer», de raconter Cendrine Browne.
D’ailleurs, elle avait un message pour les athlètes présents.
«Ayez du plaisir. Profitez de chaque instant, c’est votre moment…» 
Porte-drapeau
Par ailleurs, les dirigeants de la délégation des Laurentides ont choisi la joueuse de volleyball Laurence Huardcomme porte-drapeau lors de la cérémonie d’ouverture le 27 juillet prochain.
Originaire de Lorraine, Laurence Huard en est à sa deuxième finale provinciale des Jeux du Québec. Il y a deux ans, à 14 ans, elle a été la plus jeune joueuse sélectionnée sur l’équipe de volleyball des Laurentides lors des Jeux du Québec à Montréal en 2016.
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Quatre nouveaux visages: les Panthères regarnissent leur personnel-hockey