Le Pool de hockey de la Fondation de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme sera officiellement de retour pour la saison 2023-2024, dès le 12 septembre prochain. Une occasion incroyable pour les passionnés de hockey et philanthropes de se réunir pour une grande cause.



Participer au Pool de hockey, c&#8217;est simple et rapide!&nbsp;Choisissez à quel Pool vous aimeriez participer (individuel ou entreprise). Inscrivez-vous en cliquant sur l’un des liens ci-dessous. L&#8217;inscription est ouverte à tous, que vous soyez un&nbsp;fan&nbsp;inconditionnel de hockey ou un amateur occasionnel. Sélectionnez vos joueurs et constituez une liste gagnante, le tout, pour finalement regarder vos points monter tout au long de la saison en fonction des performances réelles de vos joueurs lors des matchs de la LNH.



L’inscription est ouverte à tous, que vous soyez un&nbsp;fan&nbsp;inconditionnel de hockey ou un amateur occasionnel.



Pourquoi participer



La Fondation de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme est un organisme à but non lucratif voué à l’amélioration des services de santé pour la population des Laurentides. En contribuant à notre cause, vous avez un impact direct sur la qualité des soins et des installations médicales disponibles pour vos amis, votre famille et vos voisins.



Plusieurs prix à gagner



À la fin de la saison, nous attribuerons des prix en argent aux meilleurs participants. Cependant, plusieurs autres prix seront tirés au hasard au courant de la saison, notamment des items exclusifs, des billets pour des matchs de la LNH et des cartes-cadeaux. Bref, pas besoin d’être un expert pour gagner&nbsp;



Les rendez-vous importants



Les dates à retenir sont l’ouverture des inscriptions, le 12 septembre 2023, le début de la saison de la LNH et la date limite des inscriptions, le 10 octobre 2023, la fin de la saison de la LNH (18 avril 2024) et finalement l’annonce tant attendue des gagnants, le 20 avril 2024.



Pour s’inscrire, consulter les réalisations récentes de la Fondation ou encore pour contacter directement cette dernière, rendez-vous à l’adresse&nbsp;<a href="https://fondationhopitalsaint-jerome.org/pool_hockey">fondationhopitalsaint-jerome.org/pool_hockey</a>.

La Ligue professionnelle de hockey féminin (LPHF) a vu le jour le 29 août dernier, annonçant du même coup que sa saison inaugurale sera disputée dès janvier entre six équipes basées à Montréal, Toronto, Ottawa, Boston, Saint Paul et New York. Trois jours plus tard, la ligue révélait la nomination du natif de Saint-Jérôme et résidant de Blainville Pascal Daoust au poste de directeur général du club de la Grosse Pomme.



«&nbsp;Quand j’ai reçu l’appel, j’étais en vacances à Disney avec mes enfants et ma femme […]. On me disait ‘c’est officielle la nouvelle ligue professionnelle féminine va se mettre en place, aurais-tu de l’intérêt à retourner dans le hockey féminin?’&nbsp;», raconte celui qui s’occupait autrefois du programme des Carabins de l’Université de Montréal (UdeM).



L’intérêt y étant, dès lors, de fil en aiguille, de coups de fil à rencontres Zoom et de rencontres à contrat, le tout est finalement devenu officiel. Bref, la «&nbsp;<a href="https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2023-09-01/nouvelle-ligue-de-hockey-feminin/pascal-daoust-et-la-magie-de-disney.php">magie de Disney</a>&nbsp;», pour citer Simon-Olivier Lorange de&nbsp;La Presse.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="427" height="640" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-disney-427x640.jpg" alt="" class="wp-image-13332" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-disney-427x640.jpg 427w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-disney-145x218.jpg 145w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-disney.jpg 683w" sizes="(max-width: 427px) 100vw, 427px" /><figcaption>Photo : Pascal Daoust &#8211; Portrait familial du fameux voyage où tout a commencé.</figcaption></figure>



Le projet idéal



Plusieurs offres ont été présentées à Pascal Daoust depuis la fin d’une aventure de plus de six ans en tant que directeur général des Foreurs de Val-d’Or, en février dernier. Néanmoins, il s’est voulu patient, sans lui-même se chercher une nouvelle équipe, c’est finalement une équipe nouvelle qui est venue le chercher.



«&nbsp;J’ai aimé ce que j’ai fait, mais même quand il y a eu des opportunités ailleurs dans la ligue par après, moi je ne me voyais pas reprendre ce genre de défi là. Je l’ai dit mainte et mainte fois dans les derniers mois&nbsp;: ‘je ne me cherche pas un travail, je ne me cherche pas une&nbsp;job, je me cherche un projet!’&nbsp;», nuance-t-il.



«&nbsp;Quand on m’a proposé ça, l’opportunité d’être DG, dans une nouvelle franchise, d’une équipe professionnelle, à New York, ça commençait à être tellement de choses positives qui s’additionnaient que je ne pouvais pas dire autre chose que oui&nbsp;», justifie-t-il ensuite.



Viser l’excellence



Sur le marché des joueuses autonomes, le diplômé de l’UdeM en enseignement et management sportif a déjà effectué trois premières acquisitions, soit les Américaines Abby Roque et Alex Carpenter, ainsi que la Canadienne Micah Zandee-Hart.&nbsp;



Le repêchage de la ligue aura bientôt lieu, le 18 septembre à Toronto, suivra le début des camps d’entraînement et, éventuellement, de la saison. C’est donc dire que Pascal Daoust a pour mandat de construire une équipe solide, mais partie d’absolument rien, et ce, en à peine quelques mois.



«&nbsp;La consigne la plus grande que je veux établir, c’est de ne pas chercher la perfection, parce que la perfection est dure à trouver à atteindre, mais chercher l’excellence, pour moi ça c’est la clef&nbsp;», affirme-t-il, disant vouloir recruter des joueuses professionnelles, avec une attitude de professionnelle, au sein de son équipe au nom toujours inconnu.



<figure class="wp-block-image size-full"><img loading="lazy" width="480" height="360" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-zoom.jpg" alt="" class="wp-image-13333" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-zoom.jpg 480w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-zoom-291x218.jpg 291w" sizes="(max-width: 480px) 100vw, 480px" /><figcaption>Photo : LPHF &#8211; Pascal Daoust lors de l&#8217;annonce de son embauche faite via une visioconférence.</figcaption></figure>



La famille d’abord



Du plus loin qu’il se rappelle, Pascal Daoust a passé sa vie dans les arénas. Ce sont ces parents qui l’ont initié à ce monde. Natif de Saint-Jérôme, dans le secteur de St-Antoine, c’est là qu’il a passé les 25 premières années de sa vie, dont certaines à jouer pour les Sélects du Nord où il fut même entraîneur ensuite.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="640" height="640" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-daoust4-640x640.jpg" alt="" class="wp-image-13334" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-daoust4-640x640.jpg 640w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-daoust4-218x218.jpg 218w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-daoust4-768x768.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/pascal-daoust4.jpg 984w" sizes="(max-width: 640px) 100vw, 640px" /><figcaption>Photo : Pascal Daoust &#8211; Passionné de toujours, l&#8217;homme de hockey, alors enfant, était déjà sur patins à 18 mois, en 1975.</figcaption></figure>



En partageant cette passion avec ses parents, il a notamment appris les rudiments du hockey, mais aussi l’importance de la famille. C’est donc en se basant sur cette dernière qu’il prend ses décisions hockey.



«&nbsp;À chaque fois j’ai toujours gardé ma passion de coach de côté, parce que je voulais l’équilibre entre ce que j’aime faire et ceux que j’aime. Dans les dernières années, dans un mandat de direction générale, oui je voyage, mais j’ai beaucoup aussi plus de flexibilité. Encore aujourd’hui, dans le projet dans lequel je m’embarque, oui des fois ça va être à sept heures de route, mais je pense que la famille va être contente de faire un tour à New York une fois de temps en temps&nbsp;», achève-t-il, reconnaissant envers les siens de rendre cet équilibre possible.

Entre Blainville et New York : l’équilibre parfait de Pascal Daoust

Après avoir vécu une première expérience avec l’équipe la saison dernière, Vincent Desjardins entamera officiellement la campagne à venir en tant que membre à temps plein de l’Armada de Blainville-Boisbriand – un poste qu’il n’a jamais voulu tenir pour acquis.



«&nbsp;Je voulais que les gens se disent&nbsp;: ‘il a fait l’équipe et il méritait de la faire’, pas parce que j’ai remplacé l’an passé où je suis un choix de 2e&nbsp;ronde. Je voulais prouver pourquoi je pouvais être dans l’équipe et je pense que je l’ai fait&nbsp;», explique le vaillant athlète en provenance du secteur de Domaine-Vert Nord à Mirabel



La saison dernière, le 30e&nbsp;choix total de l’encan 2022 avait disputé 14 matchs avec la Flotte. De ceux-ci, il avait récolté 7 points à ses 8 dernières rencontres, probablement assez pour demeurer avec l’équipe dans un contexte normal, contexte dont l’Armada ne jouissait malheureusement pas la saison dernière.



Aux pôles opposés



Alors que les blessures et la malchance s’acharnaient sur Blainville-Boisbriand l’hiver dernier, l’équipe décide de trouver renfort en Desjardins qui n’avait remplacé que quelques matchs dans un rôle plus effacé jusque-là.



«&nbsp;La veille de Noël, j’ai reçu un appel de Bruce [Richardson] qui me dit ‘viendrais-tu avec nous à Val-D’Or le 28 décembre?’ Moi je ne m’attendais pas à ça, je pensais juste manger de la tourtière tranquille chez moi&nbsp;», se remémore l’athlète de 17 ans qui a rapidement saisi l’opportunité offerte à lui, notamment en marquant son premier but en carrière dans la LHJMQ face aux Olympiques de Gatineau, la veille du Nouvel An.



À la fin du mois de janvier, il était toutefois clair que la saison 2022-2023 ne serait pas celle de l’Armada. Pour ne pas mettre de freins à sa progression, la troupe noire et blanche a donc décidé de rediriger Desjardins vers les Vikings de Saint-Eustache qui, à l’inverse, pouvaient aspirer aux grands honneurs du circuit M18 AAA.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="621" height="640" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins2-621x640.jpg" alt="" class="wp-image-13324" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins2-621x640.jpg 621w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins2-212x218.jpg 212w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins2-768x791.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins2.jpg 994w" sizes="(max-width: 621px) 100vw, 621px" /><figcaption>Photo : Sébastien Gervais &#8211; Image de janvier dernier, lors du premier stage de Vincent Desjardins avec l&#8217;Armada.</figcaption></figure>



Confortable et confiant



Comprenant la situation, le joueur de centre se veut reconnaissant en ne retenant que du positif de son&nbsp;stage&nbsp;junior de l’an dernier. À ces yeux, cette expérience a joué un grand rôle dans le camp d’entraînement du tonnerre qu’il vient tout juste de connaître.



«&nbsp;C’était mon 2e&nbsp;camp, alors je suis arrivé-là avec plus de confiance et comme j’avais joué l’an passé, je connaissais les vétérans, donc c’est sûr qu’en arrivant sur la glace, j’étais beaucoup moins intimidé que les autres recrues&nbsp;», indique celui qui voit son sens de l’analyse et donc son ‘hockey IQ’ comme l’une de ses forces principales.



L’état-major de l’Armada a elle aussi remarqué cette force. Le directeur général de l’équipe, Olivier Picard, a déclaré que le plafond du Mirabellois était « immense », allant même jusqu’à dire que « dans trois ans, on va peut-être se dire que c’était un des meilleurs jours de sa cuvée, malgré que ça n’avait pas été un choix de 1re ronde ».



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="640" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins4-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-13325" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins4-960x640.jpg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins4-327x218.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins4-96x64.jpg 96w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins4-768x512.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins4-615x410.jpg 615w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/09/vincent-desjardins4.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>Photo : Noé Cloutier &#8211; Après avoir porté les couleurs des Sélects du Nord et des Vikings de Saint-Eustache, Vincent Desjardins continue de défendre l’honneur de sa région, maintenant à Boisbriand.</figcaption></figure>



«&nbsp;J’ai vraiment hâte&nbsp;»&nbsp;



Sans nécessairement nuancer ses propos, Picard avait cependant ajouté que la saison était jeune, en été, car elles se gagnent seulement au printemps. Autant le directeur général que son entraîneur-chef, Mathieu Turcotte, s’accordent ainsi sur le fait que l’un des défis de Desjardins serait donc de maintenir le rythme à longueur d’année. Une situation que le principal intéressé ne demande qu’à vivre.



«&nbsp;Pour de vrai, j’ai vraiment hâte que ça commence […]. J’ai hâte de voir le&nbsp;grind, la course aux séries, la compétition. J’ai hâte que chaque&nbsp;game&nbsp;compte. La saison, je sais qu’elle est longue, je sais que c’est beaucoup de matchs, mais justement j’ai hâte de vivre ça&nbsp;», affirme le compétiteur qui ‘réembarque dans l’Armada’, mais cette fois à temps plein dans une saison de 68 joutes qui débutera à Sherbrooke le 22 septembre.

Fondation de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme : le Pool de hockey est de retour!