Le 26 juin dernier, le président et la directrice générale de la Commission scolaire de la Rivière-du-Nord (CSRDN), Jean-Pierre Joubert et Guylaine Desroches, de même que le maire de Saint-Hippolyte, Bruno Laroche, ont officialisé le début des travaux de construction de la nouvelle école primaire de Saint-Hippolyte.
Accompagnés de la commissaire Linda Gagnon, du vice-président de la CSRDN, Serge Forget, et du conseiller municipal, Patrice Goyer, ils ont effectué une visite du chantier situé sur la 111e Avenue.
«Nous sommes heureux de constater que les travaux vont bon train. La construction de cette nouvelle école à Saint-Hippolyte arrive comme une bouffée d’air dans le secteur, affirme M. Joubert. Nous tenons à remercier la municipalité pour son soutien et sa collaboration tout au long du processus qui a mené au choix du terrain pour établir cette nouvelle école. Cette dernière saura très certainement devenir un milieu d’apprentissage dynamique et stimulant et nous sommes fiers d’offrir un établissement de qualité aux familles de la région.» 
Environnement motivant
Le maire Bruno Laroche a tenu à souligner l’enthousiasme et l’engagement de la municipalité dans la réalisation de ce projet.
«Nous avons à cœur la réussite éducative de nos jeunes, qui passe par la création d’un environnement motivant et propice à leur épanouissement. Ce projet d’école est donc des plus significatifs parce que la réussite scolaire est une responsabilité collective qui ne dépend pas uniquement des jeunes, de leurs parents ou de leurs enseignants, mais de toute une communauté. Nous sommes heureux de pouvoir contribuer au développement de nos jeunes et ainsi les inciter à persévérer dans un milieu de vie qui favorisera l’apprentissage.» 
Projet de 13,5 M$
Rappelons que cette nouvelle école primaire pourra accueillir trois groupes d’élèves du préscolaire et 18 groupes d’élèves du primaire et que le coût total de ce projet s’élève à 13 501 962 $.
La municipalité a investi, pour sa part, une somme de 950 000 $ pour l’achat du terrain et pour le prolongement de la 111e Avenue, qui dessert la nouvelle école.
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Les nouvelles sont bonnes pour le groupe de parents qui souhaite l’établissement d’une école secondaire à Prévost, mais il y a encore loin de la coupe aux lèvres.
Il y a une quinzaine (le 19 juin pour être plus précis), les membres du regroupement citoyen Pour une école secondaire à Prévostse sont présentés pour une troisième fois consécutive à une séance du conseil des commissaires de la commission scolaire de la Rivière-du-Nord.
Étude de faisabilité
On a profité du moment pour déposer aux membres de la table des commissaires une pétition de plus de 6 100 signatures, de même qu’un mémoire présentant une analyse socio-démographique des communautés de Prévost et Saint-Hippolyte (qui, on le sait, font front commun dans le dossier), «les besoins et les bienfaits»d&#8217;une école secondaire de proximité à Prévost.
«Nous nous sommes exprimés avec cœur sur les valeurs que portent notre projet et les raisons pragmatiques de notre démarche»révèle Jocelyn Vaillant, président et porte-parole de l’organisme. «Nous avons demandé aux commissaires de jouer pleinement leur rôle d&#8217;élus, d&#8217;être sensibles aux demandes de la population, d&#8217;avoir une vision innovatrice de l’école publique et de contribuer au développement de nos communautés.» 
Laissons aux gens du comité le soin de raconter la suite.
«À̀ notre grande surprise, tout juste avant l&#8217;adoption d&#8217;une résolution demandant la construction d&#8217;une nouvelle école secondaire sur le territoire de la commission scolaire, un huis-clos est demandé. Après 45 minutes de délibération et à notre retour dans la salle du conseil, une résolution écrite séance tenante est présentée et recommande une étude de faisabilité pour une école secondaire à Prévost devant être déposée avant juin 2019». 
Partenariat
Ce fut alors l’occasion pour eux de relancer une idée qui fait son chemin et rejoint les vœux du conseil municipal de Prévost.
«La résolution fait référence à la forte mobilisation citoyenne dans nos municipalités, à nos représentations répétées en faveur d&#8217;un projet d&#8217;école de proximité et à la nécessité d&#8217;examiner des nouvelles façons de faire et des partenariats innovants pour la construction d&#8217;école. Sur ce dernier aspect, nous avons réitéré l&#8217;idée d&#8217;un partenariat public-ville, tel que proposé par la municipalité de Prévost pour la construction et la gestion d&#8217;équipements communautaires pouvant aussi servir à la population, le soir, les week-ends et l&#8217;été».
Le partenariat souhaité se traduit également à un autre niveau, s’il n’en tient qu’à Jocelyn Vaillant qui se montre des plus prudents quant à la suite des choses.
«Nous sommes heureux de cette ouverture de la part des commissaires et demandons, tel que nous l’avons toujours fait, d’être un véritable partenaire dans l’étude de faisabilité et dans la proposition de modèles d’implantations d’une nouvelle école&#8230;» note-t-il d’une part, ajoutant du même souffle qu’«il reste plusieurs autres étapes à franchir avant une première pelletée terre. Nous devons poursuivre la mobilisation, être vigilants et continuer de défendre notre vision d’une école de proximité, inclusive et enracinée dans la communauté. Nous sommes déterminés à mener à terme notre projet d’école secondaire à Prévost.»
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Bonne nouvelle pour une école secondaire à Prévost, mais… «Nous devons poursuivre la mobilisation» – Jocelyn Vaillant

Alors qu’on sait maintenant que la consommation du cannabis deviendra légale le 17 octobre prochan, les autorités de Saint-Jérôme continuent à se préparer à cette entrée en vigueur.
C’est ainsi que le comité mis sur pied en ce sens (Commission spéciale sur l&#8217;usage du cannabis)déposé son rapport mardi dernier (19 juin) en assemblée publique, par la voie de son président, le conseiller Benoît Delage.
« Aujourd’hui, je suis fier de vous présenter une série d’orientations claires émanant des travaux de notre groupe de travail. Après plusieurs débats d’idées, de recherches pointues, de consultations fructueuses et de discussions rationnelles sur les enjeux liés à l’usage du cannabis, je suis d’avis que Saint-Jérôme a maintenant entre les mains un cadre réglementaire et communautaire qui saura nous préparer aux défis à venir » de commenter le conseiller Delage.
Recommandations
Selon la planification mise de l’avant au moment de la formation du comité, le conseil municipal analysera maintenant les recommandations et entérinera le rapport, «après une étude approfondie», au mois d’août.
Il émane de ce rapport six recommandations.
C’est ainsi quela Commission recommande que:
-la consommation du cannabis soit interdite sur l’ensemble du domaine public soit : les rues, les ruelles, les trottoirs, les parcs et les grands espaces publics (place des festivités, gare intermodale, etc.)
-soit analysé la pertinence et la possibilité  d’ouvrir un point de consommation public dans la mesure où il observe des règles strictes en matière de sécurité, de salubrité et de gestion.
-de permettre l’ouverture d’un point de vente de la Société québécoise du Cannabis sur le territoire de Saint-Jérôme dans la mesure où l’implantation du commerce se situe dans les zones dictées dans ce rapport par le Service de l’urbanisme et du développement durable de Saint-Jérôme.
-de permettre l’ouverture d’un site de production sur le territoire de Saint-Jérôme dans la mesure où l’implantation d’un tel établissement se situe dans les zones identifiées.
-la ville se dote d’outils d’information et de sensibilisation destinés aux citoyens de Saint-Jérôme afin d’intervenir de façon positive sur les questions de santé publique et de civisme.
&#8211;soit analysé, par un groupe de travail mixte, les effets de la réglementation et des mesures prises par le conseil municipal quant à l’usage du cannabis sur le territoire de Saint-Jérôme.
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Nouvelle école primaire à Saint-Hippolyte: les travaux de construction sont lancés