À quelques jours du scrutin du 1eroctobre, Marguerite Blais, candidate de la Coalition Avenir Québec, se voit comme «la seule candidate du changement» dans Prévost.
École et sols contaminés
Résidente de Saint-Hippolyte depuis 1989, Mme Blais considère être également être bien  au fait des dossiers locaux et se présente comme celle qui fera cheminer les choses importantes dans cette nouvelle circonscription.
«Je ferai avancer les éléments prioritaires» note-t-elle.
De ce fait, dit-elle, «j’appuierai, entre autres, la Ville de Prévost dans ses démarches pour la construction de l’école en défendant le dossier auprès du ministère de l’Éducation. Je ferai entendre notre voix pour assurer une plus grande protection de nos milieux naturels. Il y a d’ailleurs urgence d’agir à Sainte-Sophie pour ne pas laisser impunis les auteurs de déversements de sols contaminés ».
«Au fil des ans, je me suis forgée une volonté de fer et une détermination à toute épreuve qui me seront fort utiles à l’Assemblée nationale. Tout comme je me suis dévouée à la cause des aînés, c’est ainsi que je me consacrerai à défendre les intérêts des électrices et des électeurs de Prévost» ajoute Marguerite Blais.
«Grand adepte du salissage»
Par ailleurs, réservée à ce niveau depuis le début de la campagne électorale, Marguerite Blais est passée en mode attaque, la semaine dernière, pour s’en prendre à son adversaire péquiste, Paul St-Pierre Plamondon, sans le nommer précisément.
«Ailleurs, ce sont les Libéraux, dans les Laurentides, c’est un autre vieux parti incapable de se renouveler, qui règne en maître depuis des lustres. D’ailleurs, mon adversaire péquiste en est un bel exemple. Il apporte soi-disant du sang neuf et de la jeunesse, mais conserve les vieilles façons de faire de la politique. Ce grand adepte du salissage a passé le plus clair de son temps à déverser son fiel sur ma personne par des attaques mensongères et infamantes. Est-ce le changement que l’on souhaite à Prévost ?» a exprimé Mme Blais.
Du côté de son organisation, on tient également à mettre en lumière que la candidate caquiste «est retournée dans l’arène politique pour voir ses années de lutte pour les droits des aînés et des proches aidants aboutir à un dénouement positif. Car, le chef François Legault, s’est non seulement engagé à adopter la première politique québécoise des proches aidants, il a aussi réitéré sa volonté ferme d’améliorer les conditions de vie de nos aînés dans les CHSLD».
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Marc Bourcier et le Parti Québécois entendent électrifier 100 % des autobus urbains et scolaires d’ici 2030. Ils veulent également que 50 % des véhicules légers vendus au Québec en 2030 soient rechargeables.
Porteur du dossier de l’électrification des transports au sein du caucus péquiste au cours du dernier mandat, le député sortant de Saint-Jérôme considère que la capitale des Laurentides dispose de tous les éléments pour faire figure de leader dans ce domaine.
«L’introduction des véhicules électriques au Québec est irréversible. Considérant la présence, sur notre territoire, de l’Institut du véhicule innovant (IVI) et de la Compagnie Électrique Lion, Saint-Jérôme à une longueur d’avance. Il faut s’y engager entièrement, dès aujourd’hui. Contester l’existence de ces subventions comme le fait la CAQ,  c’est mettre en péril nos fleurons jérômiens » lançait, mercredi dernier, Marc Bourcier lors d’un point de presse tenu sur le site de la compagnie Lion.
Un millier d’emplois
En outre, M.Bourcier se dit d’avis qu’«en électrifiant les 8 000 autobus scolaires du Québec (comme il a l’objectif), la Compagnie Électrique Lion pourrait créer jusqu’à 1000 emplois directs et indirects dans la région. En plus des industries secondaires qui pourraient s’établir ici».
Qui plus est, à ses yeux, «en développant ce créneau qu’est l’électrification des transports avec les partenaires du milieu tels la Commission scolaire de la Rivière-du-Nord, le Cégep de Saint-Jérôme et le Centre d’études professionnelles Saint-Jérôme, de nouveaux programmes de formation unique au Québec pourront être mis sur pied ».
« La mise en place de ces offres de cours permettra une meilleure conformité entre la formation et l’emploi. Pour développer la filière de l’électrification des transports, il faut favoriser une main-d’œuvre qualifiée du secondaire à l’université et répondre aux besoins de ce secteur d’activité qui est susceptible de créer de la richesse et de réduire notre empreinte écologique».
Protéger les fonds de retraite 
Dans un autre ordre d’idée, Marc Bourcier souhaite se porter à la défense des anciens travailleurs de Sears (on en comptait une centaine à Saint-Jérôme, estime-t-il).
«Je veux amorcer un mouvement national afin que le gouvernement fédéral modifie sa loi sur les faillites de manière à éviter les catastrophes vécues par les travailleurs de Sears et Nortel » souligne le candidat Bourcier pour qui il est impérieux que les fonds de retraite des travailleurs soient à l’abri des faillites «en les plaçant premiers créanciers».
De plus, Marc Bourcier et le Parti Québécois promettent de réduire de «manière concrète» le fardeau administratif pour les entreprises.
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Électrification des transports: «Saint-Jérôme a une longueur d’avance»-Marc Bourcier

C’est pas moins de 2,5 M$ que les dirigeants de Centraide Laurentides veulent amasser en 2018 avec leur indispensable campagne de souscription annuelle.
Les grandes lignes de l’initiative ont été dévoilé vendredi dernier en conférence de presse dans l’enceinte de la vieille gare de Saint-Jérôme par les responsables de l’organisme.
L’annonce avait été précédé en matinée d’une tournée de différents organismes bénéficiaires de Centraide Laurentides.
La force du réseau
En 2017, c’est pas moins de 1 810 000 $ que les gens de Centraide Laurentides avaient récolté, comme l’a rappelé Serge Paquette, président du conseil d’administration qui, au moment de son allocution, vendredi dernier, a tenu à mettre en relief «la force de notre réseau».
Investis avec intelligence et bienveillance
Cette année, la présidence d’honneur de la campagne de souscription a été confiée à Martin Perrier, directeur Réseau de distribution Laurentides à Hydro-Québec.
Il faut bien dire que ça fait de nombreuses années déjà que M.Perrier s’implique pour Centraide Laurentides.
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«Centraide chez nous, c’est une affaire de famille. On l’a tatoué sur le cœur. Mon père a été bénévole pendant de nombreuses années» de dire Martin Perrier.
Si la campagne de souscription, placée sous le thème Ici avec cœur,fait appel à la générosité de plusieurs individus, corporations et organismes, il est bon de noter qu’environ 69 % des dons proviennent des campagnes en milieu de travail.
Et on peut compter sur l’implication de Martin Perrier pour que les sommes récoltes servent en majeure partie à subvenir aux besoins de plus en plus imposants.
«Il faut que les dons soient investis avec intelligence et bienveillance. Les besoins perdurent et augmentent.
Chaque don ajouté à un autre don peut faire la différence. Il faut ouvrir votre cœur une peu plus et un peu plus grand…» indiquait-il, vendredi, pour le bénéfice des gens présents.
Centraide Laurentides invite la population à suivre l’évolution de la campagne sur les médias sociaux et via son site Internet. Les citoyennes et citoyens qui souhaitent soutenir le mouvement peuvent le faire en ligne au <a href="mailto:jedonne@centraidelaurentides.org">jedonne@centraidelaurentides.org</a>ou  en postant un don à Centraide Laurentides au 880, boulevard Michèle-Bohec, bureau 107, Blainville (Québec), J7C 5E2 en communiquant avec nous par téléphone au 450 436-1584, ou tout simplement en visitant la section « don en ligne » du site internet <a href="http://www.centraidelaurentides.org/">www.centraidelaurentides.org</a>
Depuis 50 ans
Centraide Laurentides intervient auprès de la collectivité depuis plus de 50 ans en recueillant des fonds destinés à soutenir des organismes communautaires qui aident des gens à trouver des solutions pour améliorer leurs conditions de vie.
Dans la région, ce sont plus de 60 000 personnes et leur entourage, qui ont bénéficié de l’aide du réseau soutenu par Centraide Laurentides.
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Elle s’en prend à son adversaire péquiste «Je ferai avancer les éléments prioritaires» -Marguerite Blais