Les 9 et 10 mars, le Club de patinage de vitesse Mirabel Saint-Jérôme a accueilli le Festival des Vives Lames présenté par Xact Skate Shop. Cet événement a rassemblé 450 patineurs de 6 à 14 ans venus des quatre coins de la province.



Le Festival des Vives Lames avait lieu sur les deux glaces de l’aréna Rivière-du-Nord de St-Jérôme.



« Quel beau Festival nous venons de vivre! Que dire des superbes performances de nos patineurs! Encore une fois, merci à tous nos bénévoles, sans vous, un événement de cette envergure n’aurait jamais eu lieu. N’oublions pas tous nos entraîneurs qui se dévouent et donnent de judicieux conseils à nos patineurs durant la compétition », ont indiqué les organisateurs.



Les résultats incluent des distinctions telles que la deuxième place pour Alexis Delalleau parmi les 6-7 ans ; la première place pour Elaïa Létourneau, Félix Brisson, Florence Roy et Éliane Christen parmi les 8-9 ans, suivi d’une deuxième place pour Emma Gagnon et Zak Pelechacz.



Parmi les 10 ans et plus, Liam Véronneau et Daniel Cupcinenco se sont démarqués en remportant la deuxième place dans leur catégorie respective.



Les commanditaires comprenaient l&#8217;Association régionale de patinage de vitesse du Québec &#8211; Région Ouest, Patinage de vitesse Québec, Bont Skates, le Club Optimiste St-Jérôme, Loisirs Laurentides, La Petite Bretonne, Fromages d&#8217;ici, Lait au chocolat, Mégamaze centre d&#8217;amusement, Sports Experts / Atmosphère Saint-Jérôme, Vitrerie Dufour, Boston Pizza St-Jérôme et les Saveurs du Buffet des Continents.



Le Club de patinage de vitesse Mirabel Saint-Jérôme (CPV) est une école de patin pour les débutants à avancés. Les plus jeunes débutent avec Les Pingouins – École de patin, dès l’âge de 3 ans. Ensuite, les patineurs sont classés dans les différents groupes d’entrainement selon leur niveau de compétition, du groupe 5 au groupe 1.



En collaboration avec l’École Polyvalente de Saint-Jérôme, le CPV propose également un programme Sport-études qui s’adresse à des élèves-athlètes de niveau de compétition interrégional, provincial ou élite.



Pour connaître les dates d’inscription et des cours d’essai gratuit, vous pouvez suivre la page Facebook du Club de patinage de vitesse Mirabel Saint-Jérôme.

Vendredi dernier, la Ville de Saint-Jérôme a officialisé un partenariat avec l&#8217;organisme CAP Emploi dans le cadre d&#8217;un programme visant à aider les personnes en situation d&#8217;itinérance.



Ce partenariat, inscrit dans le programme TAPAJ (travail alternatif payé à la journée), offre des opportunités d&#8217;emploi rémunérées aux personnes en situation d&#8217;itinérance ou à risque de le devenir. Les participants travaillent pendant trois heures sur des tâches manuelles et bénéficient du soutien d&#8217;un intervenant.



Ce programme est salué par la Ville comme une initiative importante, un geste concret pour favoriser l&#8217;intégration sociale et professionnelle des personnes vulnérables, tout en contribuant à la cohésion sociale et au vivre-ensemble dans la communauté.



« Quelle fierté d’annoncer la concrétisation d’un partenariat porteur comme celui-ci, qui permettra aux personnes en situation d’itinérance ou à risque de le devenir de s’impliquer en travaillant dans leur communauté ! &nbsp;Je voudrais saluer l’ouverture des membres syndiqués de la Ville, qui n’ont pas hésité à collaborer pour la mise en place de ce si beau projet », a déclaré le maire de Saint-Jérôme, Marc Bourcier.



L’entente, d&#8217;une durée d&#8217;un an, entrera en vigueur à partir du 1er avril prochain.



<h2>Du travail sans expérience requise</h2>



Selon Catherine Chapdelaine, coordinatrice du programme, le processus d’embauche est très simple et aucune qualification ou expérience particulière n&#8217;est requise pour participer. De plus, aucun engagement à long terme n&#8217;est nécessaire. La somme de 48 $ pour trois heures de travail est remise le jour même. Pour l’instant, à Saint-Jérôme, 15 personnes par semaine peuvent bénéficier de ce programme.



Parmi les travaux qui peuvent être proposés selon les intérêts et aptitudes des participants, la coordonnatrice mentionne du travail à l’écocentre, du désherbage, de l’entretien, du nettoyage ou encore de la peinture.



« TAPAJ donne l’opportunité à des personnes en situation précaire de vivre des expériences positives, explique-t-elle. Ce qui est bien avec la collaboration de la Ville de Saint-Jérôme, c’est de pouvoir rendre cela possible sur une base plus régulière. On nous garantit au moins cinq plateaux par semaine par année. Je suis maintenant en mesure d&#8217;offrir cette opportunité à plus de personnes. On a une liste d’attente présentement. Ça fait presque un an que TAPAJ CAP Emploi est en action à Saint-Jérôme. Nous allons avoir encore plus d&#8217;impact !&nbsp;»



La coordinatrice souligne également que le programme TAPAJ, conçu en 2001 par l’organisme Spectre de rue de Montréal, est déjà présent dans 11 villes de la province et connait un grand succès en France. Elle estime qu&#8217;il serait bénéfique de l&#8217;étendre à un plus grand nombre de villes alors que la problématique de l&#8217;itinérance gagne du terrain.

Saint-Jérôme s’engage pour l’insertion des personnes en situation d’itinérance

Imaginez la sensation exaltante d&#8217;atteindre le sommet le plus élevé d&#8217;un continent. C’est ce qu’ont vécu les frères Aubin le 2 mars dernier en réalisant un défi de taille : l’ascension du Kilimandjaro, le plus haut sommet d&#8217;Afrique.



Simon Aubin et Jonathan Huot-Aubin évoluent ensemble chez Toiture Aubin depuis 20 ans. Leur périple de 14 jours en Tanzanie était leur premier voyage d’aventure ensemble, où ils ont partagé des moments uniques, empreints d&#8217;accomplissement et d&#8217;émotions.



Tout en haut du Kilimandjaro, l&#8217;Uhuru Peak culmine à 5 895 mètres au-dessus du niveau de la mer. L’atteindre est un accomplissement majeur et une grande source de fierté personnelle, partage Simon, en nous expliquant ce qui l&#8217;a motivé à se lancer dans ce projet.



« Ce genre de défi personnel est une motivation pour continuer à m’entraîner au quotidien malgré mon horaire chargé qui commence très tôt le matin. Et c’était aussi une célébration spéciale pour les 40 ans de Jonathan. »



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="768" height="512" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/03/mdl-simon-aubin2-edited.jpg" alt="" class="wp-image-16190" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/03/mdl-simon-aubin2-edited.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/03/mdl-simon-aubin2-edited-327x218.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/03/mdl-simon-aubin2-edited-96x64.jpg 96w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/03/mdl-simon-aubin2-edited-615x410.jpg 615w" sizes="(max-width: 768px) 100vw, 768px" /><figcaption>Courtoisie. Les frères Aubin pendant leur ascension du Kilimandjaro. </figcaption></figure>



<h2>Vers les Hauteurs: défis et moments forts</h2>



Selon l’entrepreneur à la tête de Toiture Aubin, parvenir à réaliser cet exploit requiert une préparation minutieuse et une gestion prudente de son rythme. Pour lui, les plus grands défis sont liés au manque d’oxygène et à la condition physique.



« Le secret, c’est de prendre son temps, même si tu te sens prêt à accélérer. Il faut avancer à un rythme lent, ne pas se précipiter, sinon maux de tête, nausées, et autres symptômes dus au manque d&#8217;oxygène en haute altitude peuvent vite s’installer. C’est donc crucial de contrôler son allure. &nbsp;Il faut vraiment le vivre pour le comprendre. Je ne m’attendais pas à un si gros défi de ce côté et il a fallu que je m’adapte. »



Simon souligne également qu&#8217;atteindre le sommet en sept jours nécessite de longues journées de montée, d&#8217;environ 6 heures par jour. De plus, lors de la dernière journée, afin d&#8217;admirer le lever de soleil spectaculaire depuis le sommet, il faut partir à 23h la veille et arriver vers 5h du matin, après une nuit difficile, mais mémorable ! D’ailleurs, ce moment émouvant, après tant d&#8217;efforts, lorsque les deux frères ont enfin atteint le sommet et découvert la vue incroyable, restera à jamais gravé dans leur mémoire.



Parmi les autres défis associés à un tel projet de voyage, l’entrepreneur évoque également celui du décalage horaire et les longues heures de vols, qui ne sont pas à sous-estimer : « Il faut compter environ trente-trois heures pour l&#8217;allée, avec les escales, et sensiblement la même chose pour le retour.&nbsp;»



Et il y a aussi toute l&#8217;organisation logistique avant de prendre l’avion, notamment la nécessité de confier la gestion de l’entreprise à une personne de confiance pendant leur absence. L’entrepreneur tient particulièrement à remercier Michael David, directeur et ami, pour avoir pris en charge seul la gestion de la cinquantaine d’employés de Toiture Aubin située sur le boulevard Maisonneuve.



«&nbsp;Je suis reconnaissant envers les membres de ma famille pour leur soutien pendant notre voyage. Sans leur coopération, cette expérience n&#8217;aurait pas été possible. Je veux remercier ma conjointe, Stéphanie Baribeau, et mes enfants, Lucas et Ély-Ann, ainsi que la femme de mon frère, Émilie Valiquette, et ses filles Oxanna et Alyssa, pour leur précieux soutien. »&nbsp;



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="853" height="640" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/03/mdl-simon-aubin3-853x640.jpg" alt="" class="wp-image-16187" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/03/mdl-simon-aubin3-853x640.jpg 853w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/03/mdl-simon-aubin3-291x218.jpg 291w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/03/mdl-simon-aubin3-768x576.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/03/mdl-simon-aubin3.jpg 1024w" sizes="(max-width: 853px) 100vw, 853px" /><figcaption>Courtoisie. Simon Aubin et Jonathan Huot-Aubin ont atteint le plus haut sommet du continent africain.</figcaption></figure>



<h2>La piqure du dépassement</h2>



Bref, ce voyage a été pour les frères Aubin une expérience unique, une occasion de découvrir des paysages spectaculaires, un peuple inspirant et de vivre une aventure en pleine nature.



«&nbsp;Malgré les obstacles rencontrés, tout s’est bien passé dans l’ensemble, de notre montée jusqu’au sommet du Kilimandjaro avec notre guide accompagnateur, jusqu’à notre incroyable safari dans la savane, en passant par la découverte du peuple tanzanien.&nbsp;»



L&#8217;entrepreneur envisage maintenant de relever un nouveau défi teinté d’adrénaline à l&#8217;étranger, en participant au marathon de Sydney en 2024 ou en 2025.

450 jeunes patineurs rassemblés pour le Festival des Vives Lames