L&#8217;adolescent a été vu pour la dernière fois dans le secteur de la rue Bellechasse, à Montréal, le 14 février. Il pourrait toujours s’y trouver. 



Au moment de sa disparition, il portait un pantalon gris, un manteau noir de marque North Face, un chandail blanc, des bottes beiges de marque Timberland et une tuque foncée.



Sa famille a des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité.



Sean Morahan mesure 1,73 m (5’8’’) et pèse 66 kg (145 lbs). Il a les cheveux châtains et les yeux bleus.



Toute personne qui apercevrait l&#8217;adolescent est priée de communiquer avec le 911. De plus, toute information pouvant permettre de le retrouver peut être communiquée, confidentiellement, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.

Il mesure 1,80m (5 pi 11 po), pèse 77 kg (170lbs), a les cheveux et les yeux bruns et pourrait porter un manteau bleu foncé. Si vous avez vu Mathieu Therrien-Meunier ou si vous avez des informations qui pourraient aider à le retrouver, veuillez contacter le 911. Pour partager des informations de manière confidentielle, appelez la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.

Disparition de Mathieu Therrien-Meunier

Ces interventions se traduiront entre autres par des dépistages qui pourraient être réalisés dans les points de contrôle. Une journée nationale d’opérations de sécurité routière afin de contrer la capacité de conduire affaiblie aura également lieu le 8 décembre, partout au Québec.



En parallèle à cette opération, une campagne de sensibilisation sera déployée notamment sur les différentes plateformes des médias sociaux des organisations policières. Cette campagne vise à rappeler aux conducteurs les conséquences de conduire avec la capacité affaiblie par l’alcool ou la drogue.



Pour sa part, la SAAQ effectuera une campagne de sensibilisation du 11 décembre 2023 au 11 janvier 2024. Ayant pour thème « Lorsqu’on boit, on ne conduit pas », cette campagne visera à sensibiliser les conducteurs au fait qu’il est risqué de prendre le volant après avoir consommé de l’alcool, et ce, même en petite quantité. 



&#8220;Lorsqu’on boit, il est toujours mieux de prévoir une solution de rechange pour un retour sécuritaire telle que le recours à un conducteur désigné, le taxi, le transport en commun, un service de raccompagnement ou l’hospitalité d’un proche&#8221;, rappellent les organisations policières, par voie de communiqué.



Rappelons que l’alcool ou la drogue demeure l’une des principales causes de décès dans les collisions routières au Québec. Entre 2017 et 2021, en moyenne, l’alcool était en cause dans 25 % des collisions mortelles et dans 15 % des collisions avec blessés graves.



Les forces policières lancent une mise en garde face aux différents mythes qui circulent en lien avec la possibilité de recouvrer sa capacité de conduire plus rapidement dans certaines circonstances. Uniquement le temps permet de dissiper les effets liés à la consommation d’alcool ou de drogues.



&#8220;De plus, la pratique consistant à estimer son propre taux d’alcoolémie avant de prendre le volant présente des risques importants et est conséquemment à proscrire. L’effet d’une seule consommation ne doit en aucun cas être sous-estimé. Lorsqu’on consomme, alcool ou drogue, on ne conduit pas&#8221;, ajoutent-elles.



Cette opération nationale concertée est organisée dans le cadre d’un partenariat entre la Sûreté du Québec, l’Association des directeurs de police du Québec, Contrôle routier Québec, la SAAQ et l’ensemble des corps de police du Québec.

Un ado manque à l’appel à Prévost