Ayant la réputation de&nbsp;Mecque de la musique, vous en apprendrez davantage sur les origines de celle-ci, alimentée principalement par la communauté anglophone ainsi que par les militaires américains fuyant le service dans les années&nbsp;1960.



De plus, le documentaire fera honneur au célèbre Studio d’André Perry ainsi qu’aux nombreux artistes de renommée mondiale y ayant défilé au fil des ans. Des artistes d’ici tels que Yvon Deschamps, Robert Charleboix, Lewis Furey et Penny Rose parleront de l’importance de la musique à Morin-Heights.



Pour bien terminer la présentation, laissez-vous charmer par les lieux emblématiques du village tel que le Commons Bar et Rose’s Cantina&nbsp;: un magnifique théâtre présentant des prestations musicales mémorables.



Durant cette journée, vous rencontrerez Donald Stewart, historien et ancien président de l’Association historique de Morin-Heights, ayant produit le documentaire en collaboration avec la MRC des Pays-d’en-Haut ainsi que d’autres partenaires.&nbsp;



Pour plus de renseignements&nbsp;:



Histoire et Archives Laurentides 101 place du Curé-Labelle, bureau&nbsp;203, Saint-Jérôme (Québec) J7Z 1X6 450-436- 1512, poste&nbsp;33339&nbsp;

À Sainte-Sophie, une nouvelle activité familiale prendra place le 27 avril à la librairie Mille et une feuilles. L’écrivaine et conférencière des Laurentides, Madeleine Fortier, animera un atelier d’écriture pour toute la famille.



« Il s’agit d’un atelier littéraire familial, qui peut inclure les parents, grands-parents, enfants et petits-enfants. Écrire une histoire à plusieurs mains, c’est amusant, surtout quand on le fait en famille !&nbsp;» lance Madeleine Fortier.



«&nbsp;Lors de cet atelier, tous vont apprendre et mettre en pratique une méthode simple pour écrire une histoire en 3 étapes. Les plus jeunes pourront illustrer l’histoire, et cela créera à la fois de bons moments en famille et de beaux souvenirs ! Cette méthode est si facile à utiliser que vous voudrez par la suite créer d’autres histoires en famille », ajoute la conférencière.



L’atelier se tiendra le samedi 27 avril, de 10 h à 12 h. Le coût est de 20 $ par famille et la population est invitée à s’inscrire à l’atelier sur le site web de la librairie : www.librairiemilleetunefeuilles.com.



De plus, deux tirages auront lieu parmi les participants : un cahier d’activités Inventons une histoire, et un livre, La légende d’Astrid et autres histoires.



Les livres pour enfants de Madeleine Fortier, dont Marjorie au pays de l’arc-en-ciel, Marjorie au pays des tulipes, et Léonard, inventeur génial, initient les jeunes aux voyages et à l’histoire de l’art.



L’auteure a également écrit un guide pour les aidants, Usure de compassion : jusqu’où aller sans se brûler ? ; un roman, Ma soeur par-delà les siècles, en deux tomes ; un recueil de nouvelles, De mystérieuses disparitions ; et un recueil de contes, La légende d’Astrid et autres histoires, en utilisant pour ce dernier la méthode d’Inventons une histoire.



<figure class="wp-block-image size-full"><img loading="lazy" width="439" height="587" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/04/mdl-madeleine-fortier-1.jpg" alt="Madeleine Fortier" class="wp-image-16493" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/04/mdl-madeleine-fortier-1.jpg 439w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/04/mdl-madeleine-fortier-1-163x218.jpg 163w" sizes="(max-width: 439px) 100vw, 439px" /><figcaption>Courtoisie. Madeleine Fortier animera le 27 avril un atelier d’écriture pour toute la famille, proposant une méthode simple en trois étapes pour créer une histoire captivante.</figcaption></figure>



<h2>Une nouvelle librairie dynamique à Sainte-Sophie</h2>



La librairie Mille et une feuilles où se déroulera l’atelier a ouvert ses portes en novembre 2023. Rose Crevier-Dagenais et Joëlle Robichaud Beauchamp, les deux propriétaires de la librairie, se sont unis pour créer un lieu chaleureux où la littérature québécoise et régionale est mise de l’avant, avec une offre de livres neufs et d’occasion à faible coût.



La mission de la librairie est de rendre accessible la culture québécoise pour les petits et les grands et former les gens à s’y intéresser.



« Il nous fait grand plaisir d’accueillir une nouvelle activité en partenariat avec Le petit village : café boutique. Les activités sont très diversifiées, lancement de livre, atelier créatif littéraire, il y en a pour tous les goûts ! » mentionne Rose Crevier-Dagenais, co-propriétaire de la librairie Mille et une feuilles.



La librairie Mille et une feuilles se situe au 610 A New Glasgow, à Sainte-Sophie.

Un atelier d’écriture pour toute la famille à Sainte-Sophie

Après s’être mise sur pause comme tout le Québec pendant la période pandémique, Marine et 27 autres jeunes, répartis à travers la province, ont lancé la Cellule Jeunesse, elle raconte : « Quand ça a commencé, on était 27, surtout concentrés à Montréal et Laval. Maintenant, on est 200 à travers toute la province : Gatineau, Québec, Abitibi-Témiscamingue, etc. Nos rencontres se font virtuellement, ce qui nous a permis de trouver des jeunes d’un peu partout ».



<h2>Savoir se renouveler</h2>



Historiquement, Héma-Québec trouvait la majorité de ses bénévoles auprès des personnes âgées, dont plusieurs étant à la retraite avaient plus de temps à offrir. Mais la donne a changé avec la pandémie alors que les aînés, considérés plus à risque, n’avaient plus la même liberté de participer à des événements sociaux comme les collectes.  



Marine attribue en partie son implication à son expérience dans le programme d’éducation international qu’elle a fait à l’Académie Lafontaine : « Ça a inculqué quelque chose, je crois. Je m’ennuyais vraiment de faire du bénévolat et quand la pandémie est arrivée, j’ai trouvé que c’était une occasion rêvée. 



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="853" height="640" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/04/db-hema3-1-853x640.jpg" alt="" class="wp-image-16451" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/04/db-hema3-1-853x640.jpg 853w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/04/db-hema3-1-291x218.jpg 291w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/04/db-hema3-1-768x576.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/04/db-hema3-1.jpg 1024w" sizes="(max-width: 853px) 100vw, 853px" /><figcaption>Photo Courtoisie &#8211; Ils n’étaient que 27 jeunes bénévoles pour le lancement provincial de la Cellule Jeunesse. Ils sont maintenant plus de 200 à sensibiliser les jeunes au don de sang. </figcaption></figure>



Outre l’amour du bénévolat, la mission d’Héma-Québec la touche personnellement. D’abord parce qu’elle étudie en soins infirmiers, mais aussi du fait qu’au moins deux personnes de sa famille eurent recours à des dons de sang lors de situations critiques. 



<h2>Que fait la Cellule Jeunesse de différent ?</h2>



“On a plein d’idées, s’exclame Marine, on essaie de créer des activités et des collectes jeunesses pour les jeunes/par les jeunes. Le trois quart des donateurs sont des jeunes que les ‘ambassadeurs’ ont réussi à aller chercher à l’école ou à travers leurs amis. On fait le partage sur Instagram, on fait des stories. On a même des jeunes qui ont créé des escouades de recrutement, dans le métro pour prendre des rendez-vous pour des dons. Notre approche est différente”. 



Selon Marine, la jeune génération est très intéressée à en apprendre sur le don de plasma, même s’il y a des défis à surmonter : “Dans les Laurentides, pour le don de plasma, le plus proche que tu peux aller c’est à Laval et avec l’autoroute 15, c’est assez pénible. Mais on a quand même fait une campagne de sensibilisation au Cégep de Saint-Jérôme : le kiosque ABO, qui servait à découvrir son code sanguin. Ça a tellement été populaire que les gens faisaient la file !” 



Bientôt, Marine sera étudiante à l’UQO et espère poursuivre son implication auprès d’Héma-Québec et implanter la Cellule Jeunesse au pavillon de l’UQO à Saint-Jérôme. 



D’ici là, elle invite les jeunes à donner du sang et rappelle que le don de soi, qu’il s’agisse de temps ou de plasma, fait vraiment une différence : “Notre but est de semer une graine, de leur dire que ce n’est pas si pire le don de plasma et de les y intéresser, en plus, c’est tellement gratifiant.

Présentation du documentaire « La musique : langue officielle de Morin-Heights »