En fin d&#8217;après-midi, le véhicule de la disparue a été vu par une citoyenne, stationné sur une rue à Saint-Jérôme près du parc de la Côté Parent. La femme disparue était inanimée à l&#8217;intérieur de celui-ci. Elle a été transportée au centre hospitalier où son décès a été constaté.&nbsp;



L&#8217;enquête se poursuit en collaboration avec le coroner. Il&nbsp;y aura autopsie et expertise de la scène à Saint-Jérôme (véhicule). À première vue, il n’y aurait aucune trace de violence.



Linda Vinette, 61 ans, originaire de Sainte-Sophie, avait été vue pour la dernière fois le 21 février sur le boulevard des Entreprises à Terrebonne.

La dernière semaine était décisive pour les Panthères qui affrontaient coup sur coup trois de leurs adversaires directs au classement. Les attentes étaient élevées et malgré des parties aux dynamiques variées, le bilan s’est avéré difficile, ajoutant trois revers consécutifs à la fiche des félins.



Dans le match de samedi contre les Rangers de Montréal-Est, ce sont les unités spéciales qui ont dicté l’allure de la rencontre. Les deux frères Sicotte des Rangers ont enfilé l’aiguille chacun leur tour alors qu’ils évoluaient avec un homme en moins. Malheureusement pour les Panthères, leurs deux buts en avantages numériques, l’un venant de la palette d’Olivier Tourchot et l’autre de celle de Félix-Antoine Journet n’auront pas suffi à égaliser les chances et les Rangers en ont profité pour signer une victoire convaincante de 5 à 3.&nbsp;



La veille, les joueurs de Jean-Philippe Paré avaient également mordu la poussière en subissant un blanchissage aux mains de l’Inouk alors qu’ils leur rendaient visite à Granby.&nbsp;&nbsp;



Pourtant la semaine de travail des félins semblait encourageante. Ils avaient la chance de se rapprocher du sommet du classement en affrontant trois rivaux directs. Et la confrontation contre les Cobras de Terrebonne (1er&nbsp;au classement), attendue avec impatience par les partisans des deux équipes a offert un spectacle enlevant en ouverture de rideau mercredi dernier.&nbsp;



Les Panthères étaient en plein contrôle de ce qui s’annonçait possiblement leur meilleur match de la saison. Une cascade de buts des visiteurs dans les quatre dernières minutes de jeu a toutefois jeté&nbsp;une douche froide aux partisans réunis à l’Aréna Rivière-du-Nord.&nbsp;



Après la rencontre, l’entraîneur-chef Jean-Philippe Paré semblait irrité d’en arriver au même constat que lors des derniers matchs : « Il faut contrôler nos émotions et apprendre à finir ces matchs-là. On a joué du hockey de qualité pendant 57 minutes. On gagnait 4-1 avec seulement quelques minutes à jouer. On ne leur a pas donné grand-chose. On a montré qu’on pouvait rivaliser contre eux, c’est une bonne équipe. 



Il faut apprendre de ça. On a mérité nos punitions, le quatre minutes qu’on a reçu en fin de match, on le méritait, mais Tourchot s’est fait charger à la tête et aucune pénalité n’a été décernée », avoue l’entraîneur, déçu du résultat, mais surtout préoccupé pour la santé de ses joueurs avant de conclure : « Je pense qu’on a eu du mal à gérer nos émotions. La clef est là ». 



Pour les Panthères, il est maintenant temps de montrer à l’entraîneur-chef Paré et aux partisans que l’équipe est en mode éliminatoire, là où les séries de défaites n’ont pas de lendemain.

À l’approche des séries, les Panthères doivent tirer des leçons

Le but de la démarche était simple : rappeler au gouvernement que les négociations avec la FIQ se poursuivent et qu’il est essentiel que les députés gardent les professionnelles en soins au coeur de leurs préoccupations.



L’organisation syndicale fait valoir, par voie de communiqué, que les conditions de travail dans le réseau de la santé doivent être améliorées pour garantir les soins auxquels la population a droit.



« Les demandes actuelles du gouvernement mettent en péril la sécurité et la qualité des soins à la population. Comme professionnelles en soins, on ne peut pas accepter ces demandes. C’est pourquoi on est ici aujourd’hui : la négociation n’est pas terminée et le gouvernement doit trouver des solutions durables, à la fois pour régler la prochaine convention collective et pour régler les problèmes du réseau qui perdurent depuis des décennies. Le premier ministre dit qu’il veut revenir aux priorités. Il n’y a pas de priorité plus grande que la santé dans l’esprit des professionnelles en soins et des Québécois », souligne Julie Daignault, présidente de la FIQ-SPSL.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="850" height="640" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/02/fiq-pancarte-850x640.jpg" alt="Pancarte de la FIQ à l'entrée de Prévost" class="wp-image-15949" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/02/fiq-pancarte-850x640.jpg 850w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/02/fiq-pancarte-290x218.jpg 290w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/02/fiq-pancarte-768x578.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/02/fiq-pancarte.jpg 1024w" sizes="(max-width: 850px) 100vw, 850px" /></figure>



La FIQ rappelle d’ailleurs que les négociations avec le gouvernement sont en cours depuis plus d’un an pour le renouvellement de la convention collective de 80 000 professionnelles en soins qui prodiguent des soins 24 heures sur 24 et sept jours sur sept à la population.



Le syndicat représente des infirmières, infirmières auxiliaires, inhalothérapeutes et perfusionnistes cliniques oeuvrant dans les établissements de santé aux quatre coins du Québec.

Linda Vinette retrouvée sans vie à Saint-Jérôme