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Au dîner du maire: de belles perspectives pour Saint-Jérôme…

Les trois panélistes Stéphane Maher, Bruno Laroche et Marc Bédard.
Photo Mychel Lapointe

Au dîner du maire: de belles perspectives pour Saint-Jérôme…

Publié le 30/05/2018

Le quartier des Arts et du Savoir a été au cœur des propos du maire de Saint-Jérôme, Stéphane Maher, mercredi dernier lors du traditionnel Dîner du mairetenu par la Chambre de commerce et d’industrie de Saint-Jérôme au Best Western.

En compagnie de Bruno Laroche, préfet de la MRC de la Rivière-du-Nord, et Marc Bédard, président de Autobus Lion de Saint-Jérôme, qui agissaient également comme panélistes, le maire Maher a dressé, en quelque sorte, un portrait des différents dossiers de l’heure au sein de la municipalité.

Ville de services

D’entrée de jeu, Stéphane Maher a insisté sur le fait que Saint-Jérôme est avant tout une ville de services et que, à cet égard, le quartier des Arts et du Savoir joue un rôle de premier plan dans le développement de la municipalité et même de la MRC de par l’expertise qu’on y développe, notamment en raison de la présence du Cégep de Saint-Jérôme et du campus de l’Université du Québec en Outaouais (UQO).

Des propos qui ont trouvé écho dans ceux du préfet Laroche, pour qui il est clair que Saint-Jérôme, de par sa nature de capitale régionale, doit posséder les infrastructures nécessaires pour bien jouer son rôle et que, au sein de la MRC de la Rivière-du-Nord, les investissements qui sont faits à Saint-Jérôme ne viennent pas en opposition avec ce qui se fait dans les quatre autres municipalités constituantes.

«Le pôle de la MRC, c’est la cohérence… » a dit M.Laroche.

Des investissements

Par ailleurs, parlant d’investissements, le maire Maher voit des perspectives des plus intéressantes pour ce quartier des Arts et Savoir.

D’ici cinq ans, selon lui, il pourrait s’investir entre 100 et 200 millions $ dans le centre-ville.

Il voit d’ailleurs grand, entre autres, pour le campus de l’UQO.

On parle, dira-t-il, d’une université à pleine capacité, construite pour 1 500 étudiants et qui en accueille plus de 2 000.

«On peut en avoir jusqu’à 5 000… » prédit-il.

Du dynamisme

Marc Bédard, pour sa part, voit également des perspectives intéressantes pour Saint-Jérôme.

«Il y a à Saint-Jérôme un dynamisme qui ne cesse de croître». Sur le plan industriel, «il y a de super terrains et belles entreprises qui se sont amenées depuis quelques années … Ça fait toujours plaisir d’entendre parler à l’extérieur de Saint-Jérôme d’entreprises de chez nous qui réussissent ».

Et pour que ça se poursuive, les trois intervenants sont d’accord pour dire que le défi demeure celui de recruter la main-d’œuvre nécessaire.